mardi 12 octobre 2021

CM1 - Art déco : I. une introduction

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L'Art déco correspond à ce qui relève d’une approche plus ornemental de la production avec un retour à la tradition. Versant traditionaliste de l’art déco en France. L’art déco révèle des tendances internationales.
Permise de l’art déco se trouve, par exemple, en Autriche dès les années 1910 avec les ateliers de la Wiener Werkstätte. Ces ateliers tendent vers une production différentes de ce qu’on voir pendant la sécession viennoise. A la tête de ces ateliers : Kolomann Moser et Josef Hoffmann
Ex. Carl Otto, Czeschka, Idylle sylvestre, tissu imprimé 1910-1911, Musée des arts appliqués Vienne.
Développement en France sont tributaire des arts décoratif viennois.
Art déco c’est quoi ? C’est un style hétérogène, il correspond pas à un mouvement qu’on peut définir. Ce roulement complexe, provient d’une divergence esthétique d’un artiste à l’autre mais des similitudes peuvent être constatées. Ces caractéristiques se cristallise autour d’un événement majeur avec l’exposition des art décoratifs et industrielle moderne de 1925 à Paris. Le nom même d’art déco vient de cette exposition des arts déco de 1925, cette appellation est donné à posteriori. Ce moment important de l’exposition de 1925, si important qu’on parler parfois de style 1925 pour évoquer ces tendances.
Ce style parfois appelé 1925 pour définir ce mouvement art déco, appel à remonter plus haut dans le temps à l’occurrence dans les années 1910 - 1909. Nous commençons à évoquer les année 1910 pour parler de la naissance de ce style. Interessant de savoir comment l’art déco s’inscrit en rupture et en continuité à ce qu’il a précéder => donc rupture de l’art nouveau mais par certains coté une continuité.
Ex. Josef Hoffmann, Palais Sotclet 1906 - 1911, Bruxelles
Pour l’architecture on reviens au Palais Stoclet construit par Josef Hoffmann, à Bruxelles. Ce palais est une ouverture qui s’inscrit en rupture, car cette édifice apparait comme un aboutissement d’une réaction qui c’état déjà fais avec les Wiener Werkstätte en 1903, en réaction des courbes de l’art nouveau, et volonté d’une épuration esthétique, qui tend vers la géométrie. L’emploie parcimonieux de l’ornementation marque une rupture. Mais ont peut également parlé d’une continuité, car dans un premier point l’art déco sur le plan esthétique rejette la stylisation de la nature, et dans un deuxième point, l’idéologie et la volonté de produire un art décoratif qui se veut de son temps et moderne. Volonté d’une oeuvre d’art totale d’une conception d’un tout homogène, concerne architecture et aménagement intérieur.
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L'Art déco ne se définit pas que sur la rigueur et la géométrie, mais aussi sur la revalorisation de l’ornement, qu’il s’agisse d’un ornement géométrie mais aussi dans un autre cas, persistance de la courbe et a r a b e s q u e m a i s p l u s r a t i o n a l i s é . Progressivement nous observons une perpétuation effervescente des arts décoratifs ce qu’il va culminer dans les années 1920 avec exposition 1925 comme apothéose, mais bien avant en France, certaines personnalité vont canalisé cette tendance comme précurseur. Ex.
Paul Iribe, Les robes de Paul Poiret racontées par Paul Iribe, 1908, pl.3 et 5
On peut citer Paul Iribe ou Paul Poiret, deux artistes incontournable qui font le lien entre Art Déco et Art Nouveau. Paul Iribe née en 1882, débute sa carrière à la belle époque comme illustrateur de presse. Il devient rapidement un artiste polyvalent et va petit à petit oeuvré dans les domaines de la publicité des arts décoratifs et de la mode. L’art déco des années 1910 est appelé l’art déco des couturier car lien avec la mode récurent !
Relation avec le mode de la mode viens assez tôt, car Iribe se fait remarquer en 1908 lorsqu’il dessine les planches d’un album publicitaire pour le célèbre couturier Paul Poiret : «$Robe de Paul Poiret raconté par Paul Iribe$». Poiret parlais d’une collection destiné à l’élite, avec un album de 7 dessins représentant ces robes, imprimer sur de très beaux papier adresser à titre d’hommages à toutes les grandes dame du mode entiers.
Paul Iribe va développer une esthétique ornemental qui très tôt imprégner de cette esthétique Art déco. Diverse réalisation font de lui le précurseur comme les réalisations pour André Groult. En 1911, Groult demande à Iribe un motif de tissu, pour textile imprimé. Iribe dessine cette composition de feuillage et de rose imprimé à la planche qui va connaitre un certains succès. Ici clairement un motif qui annonce les ornements art déco. Ce motif de rose va devenir célèbre te caractéristique de la production de Iribe. Motif appelé Rose d’Iribe, que l’on rencontre fréquemment pour l’œuvre décoratif dessiné par la ‘artiste. Sur le pan esthétique cette fleure fait par d’une certaines nouveauté car ce n’est pas une fleure naturaliste mimétique, mais si elle est stylisé, ce n’est pas une fleure idéalisé aux courbes exacerbé. Rose tend vers la géométrie, déjà vu chez les artistes de l’école de Glasgow comme Mckinstoch.
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Collaboration avec Iribe avec Jacques Doucet des 1912. Iribe conçoit du mobilier pour l’appartement de Doucet situé au 46 avenue Dubois, occupé par Doucet de 1913 à 1928. Pour ce premier art déco des années 1910 des couturiers aussi avec Doucet. Personnalité importante car ce fait meublé à différentes reprise par différents artistes art déoc => promoteur de ce style des 1910. Iribe conçoit cette célèbre commande ( musée des rats décoratifs paris). Ce meuble prône retour à la traction avec réalisation qui a la particularité de relevé au domaine du luxe avec emploie de matériaux précieux, ici revêtement en galuchat. Matériaux particulièrement prisé pendant l’art déco.
Précurseur traditionaliste de l’art déco il faut citer se meuble mais également d’autre imitative et personnalité comme Paul Poiret. Premier art décor des couturiers, Poiret va visité Viennes en 1911, et s’enthousiasme pour la création des Wiener Wertater, surtout issu du département de la mode et du textile. De retour en France, Poiret à pour volonté de créer une structure, pour la création des art appliqué avec l’atelier Martine crée en 1911, réalisation fut particulièrement apprécié lors du salon d’automne de 1912.
Martine prénom d’une des filles de poiret, dans cet atelier va être créer textile papier, c’est un atelier écoles, il recrute dans le milieu ouvrier des jeunes filles qui fait travailler chez lui mais aussi à l’extérieur dan sla nature. Elles créent différent motifs naturel, et fait retranscrire ces modèles pour des créations d’art décoratif :
Paravent conservé au musée d’Orsay, vers 1912. Motif de rose très proche de la rose de Paul iribe venait de rendre fameuse à cette période.
Ces ateliers vont continuer à existé dans les années 1920. Pour ce tapis avec usage de couleurs franches assez vive, caractérisées l’art déco, on parle pour certains artiste de coloriste.
Modèle d’und dessins assez naif, qui est caractéristique de la production des atelier Martine.
Paul Poiret lors de son voyage à Vanne, il est accompagné par Louis Süe. Voyage à vannes volonté de crée différents type d’atelier pour les art décoratif proche plus ou mins des Wiener Wertater. Dans ces années la Louis Sûe va crée l’atelier français en 1912, pour se faire il s’accote avec André Véra et également un décorateur André Mare. Cette même année 1912 Louis Süe présente en collaboration e Paul Huillard un ensemble de mobilier pour une sale de travail. Nous observons dans ce type de réalisation plusieurs caractéristique du nouveaux style qui se met en place :
-couleur vive
-Moderation formel, sobriété forme
-Retour à tradition, que se soit dans la structure de ce fauteuil ou dans les thèmes décoratifs présenter (pasmentrie ou corbeilles de fleures) emprunter au XVIIIe.
Or cette même année 1912, son camarade André Vera publie dans la revu l’Art décoratif un article intitulé «$Le nouveau style$». On peut plus au moins voir cette article comme un manifeste de cette nouvelle esthétique ce met en place. On peut voir Vera énonce les caractéristique des arts décoratifs. Dans ce texte réaction au excès de l’art nouveau. Vera écrit dans cette article qu’il faut «$favoriser un art d’ordonnancement architectural, simplicité volontaire, manière unique, une symétrie manifeste$» Vera souhaite «$ faire résider l’intérêt de l’oeuvre dans la beauté de la matière et dans la justesse des proportions$» la symétrie, la couleurs, retour à la tradition national en s’inscrivant dans la continuité des grands style français. Cette inscription dans la tradition en cherche pas un style moderne avec caractéristique propre en privilégiant certains motif, Vera s’exprime quand au type de motif «$ décorateur emprunt thème des variations à la nature, qu’il groupe en corbeille ou tressera en guirlande de feuille et de fruit = donc corbeille fruit feuille vont devenir carquois flèche etc au 18ème$»
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Louise Süe et André mare, étude de motif avec draperie et bouquet pour la Compagnie des Arts Français, vers 1919, gouache sur papier, ciré de l’architecture et du patrimoine, paris.
Structure de la compagnie des arts français voit le jour après la première guerre mondial, crée en 1919 par association de Louis Süe et André Marre
Motif montre assez bien se balancement entre modernité et tradition motif de la guirlande de fleure renvoie au style Louis Xvi mais aussi car ces fleurs dans leurs traitement très stylisé et d’une géométrie qu’on approche du cubisme sont très moderne stylistiquement
Paravent vers 1920 par André Mare, 4 panneaux peinture laquée sur parchemin, collé sur panneaux de bois monture en laiton dorré. Traitement mdoerne, à connotation exotique. Ce type de sujet renvoie également à tout le contexte coloniale. Les colonies jouent sur l’inspirations art déco.
Année 1910 et les précurseurs, comme Groult, personnalité important dans l’entre deux guerre. Avant la guerre il produit un secrétaire de dame, 1913, musée art déco à paris. Ce meuble d’une certaine sobriété formelle, renvoie à une certaine tradition, mais rupture de l’art nouveau. Présenter au Salon d’automne de 1913, à la suite ce meuble rejoint l’appartement de Jacques Doucet à l’apparement rue Dubois. Art Déco gout certains pour une certaines préciosité des matériaux. Secrétaire avec incrustation d’ivoire mais aussi de bois d’ébène.
Marc Coard, vitrine de 1914-1915, usage d’ébène de Macassar de nacre, d’ivoire et tablettes plaqués d’or. Réaction face à l’art nouveau, ouvert géométrique, ou la ligne courbe est toujours présente mais seconde sobriété différente, avec ici usage du cercle qui se décline dans la structure.
Maurice Dufrène ….
Fais parti des artistes qui assure une transition et précurseur de l’art déco, par se biais évolue et réagis contre les expressions les plus excessive de l’art nouveau pour une ornementation plus calme plus géométrique. Fais partie de ces premiers représentant de l’art déco avec cette table guéridon, oeuvre de transition ornementation sobre et très stylisé peut faire penser à l’art nouveau avec le piétement de la table.
Autre décorateur sont assez présent pour la transition comme Paul Follot avec la chaise longue, qu’il montre au salon d’automne de 1912, pour l’emménagement d’un boudoir qui évoque la fin du 18ème siècle. Motif ornement qui représente une rose géométrique. Même période chez Follot chaise qui fait parti d’une paire. Cette réalisation est très proche de chaise qui agrémentais une sale à manger, aménagement qui représentais le thème d’une corbeille de fruit qui était dans le lustre, le tapis mais aussi dans le dossier de la chaise. Avec piétement Louis XVI.
Paul Follot un des assembler très important après la première guerre mondial, très luxueux critiquer pour cela, lors de la représentation des artistes décorateurs de 1920. Retour à la traiditon et motif de corne d’abondance qui déverse des fleurs.
Clément Rousseau, chaise, 1921, palissandre, galuchat et ivoire
Année 1920 année de la maturité des tendances concerné. Cela particulièrement perceptible dans le cadre évoqué dans les techniques et matériaux dans se gout des matériaux précieuse et des effets de matière. Niveau de texture du matériaux lui même (galucha ou placaque de bois précieux )
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Parmi matériaux de prédilection, Clément Rousseu a utilise utilisé le galuchat. Chaise fait parti d’un ensemble mobilier en galuchat pour Edouard de Rothschild. Ivoire pour le spieds de la chaise, mais aussi pour les filets qui délimite les bandes de galuchat.
Clément Mère qui au début des année 1920 crée plusieurs meuble destiné au château de Févrière, château d’Edouard Rothschild. Table de chevet en ébène de Macassar, bouton ivoire gravé et tenité. Toujours de ce même artiste, utilise les matériaux précieux.
Table crée en 1922, même destination, forme retour à la tradition, table guéridon circulaire fait penser au style directoire au Louis XVI. Ivoire teinté et doré, excellence ode Clement mère pour ceci, mais aussi usage de bois précieux, avec amarante massif pour le petitement et placage de bois de rose et d’amarante. Sur question es techniques faut retenir ce gout pour les meubles plaqués de different bois et de bois précieux. Jeux pour les effets esthétique des matériaux même avec usage bois et marbre. ….
Représentant important, Jacques-Emile Ruhlmann.
Cabinet Etat rectangle, vers 1922-1923. Ruhlmann commence sa carrière des 1910, mais 1920 notoriété plus importante, modèle identique au salon d’automne de 1922. Ici retour à la tradition par la forme du meuble,, autre caractéristique avec usage de matériaux précieux. Avec ivoire our la marqueterie au centre. Gout pour l placage de bois précieux avec placage d’amarrante. Motif de corbeille de fleurs avec fleurs géométrique. En tout point oeuvre emblématique de l’art déco.
On peut citer Armand Albert Rateau avec la commande la plus connu passer par Jeanne lanvin en 1925 pour son hôtel particulier. Exemple des liens fort être art déco et la mode. Revenu de soie bleu et comporte mobilier en bronze patiné avec ic inspiration oriental et antique. Mais aussi dans la sale de bain. Très luxueux, usage de beaucoup de mabre, gout pour intérieur luxueux, inspiration puisé dans l’antiquité classique. Usage du marbre rappel à la fois terme antique et hamam orientaux.
Inspiration hétérogène avec l’africanisme.
Pierre Legrain, fauteuild e lecture vers 1925-1929 > modernisme avec lampe et fonctionnaliste.
Sujet qui renvoie à la société de l’époque, dont le sujet du transport, qui vont représenter des trains et des avions. Vont représenter les transport maritime et paquebot
œuvre de jean Dunand, les Cagnas, vers 1921, représentation ‘un paysage d’hivers d’une région pauvre dans les Ardennes . Voir toutes ces maisons…
Paravent constitué de 6 volet en cajou laque et métal, cette objet est d’une facture particulièrement raffiné, technique spécifique de la laque. Obtenue à partir d’une résine du latex, origine notable. Retour en faveur de cette technique de l’art Deco. Jean Dunnad mais Elen grey.
1912 que jean Dunnad sinise au technique de laque directement au près d’un laqueur japonais qui s’appel Seizo Sugawara.
Vision luxueuse et élitiste de l’art déco, véhiculé par des exemples comme type d’aménagement particulièrement parlant comme celui de Maurice Dufrène «$Chambre à couher$» reproduite dans Les modes n°191, 1920. Nous verrons que chez un même artiste, il est impossible de résumé sa production à cela et que d’autre initiative du décors vont vers une démocratisation de la production des arts décoratifs dans le contexte des ateliers des arts appliqué des grands magasins parisiens.
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Evenement qui a contribuer à véhiculer cette image, c’est l’exposition innervation des arts décoratifs et industrielles de 1925. Evénement emblématique et élitiste. Faut monter assez tôt pour les origines de cette exposition. Peut remonter en 1902 pour retrouver l’initiative de cette idée, lors de l’exposition international des arts décoratif moderne en 1902 à Turin. En france, on va souvent donné la date de 1911, quand à l’origine de cette initiative, mais en faite on peut remonter un peu avant car idée d’expo d’art déco moderne repris très tôt dans le 20e par la société des artistes décorateurs qui tend à professionnaliser le métiers des décorateurs et donner un statue et monté des 1901. Surtout des 1906 on va trouver trace d’une demande devant la chambre des député, de même en 1909 le célèbre critique d’art Roger Marx qui fait paraitre un article dans la revue $idée moderne$«$de l’art social et la nécessité d’en assuré le progrès par une exposition$» Date de 1911, qu’on retiens car, en cette date les président de trois associations française d’importance liée au domaine des art décoratif : :
-Union central des rats décoratifs
-Société des ratisses décorateurs
-Société d’encouragement à l’art et à l’industrie
Trois entité en 1911, émettent le veux que le gouvernement français mettent en place la dite exposition en 1915. Avant même le déclenchement de la guerre on parle de cette exposition, mais le projet est repoussé en 1916 puis ajourné par le déclenchement de la guerre, puis poussé à 1922 puis à 1924 puis à 1925. Pourquoi repousser, l’exposition ouvre ces portes le 8 avril 1925, il est inauguré devant 4 000 invités par le président de la république de l’époque Gaston..
beaucoup de pavillon érigé pour l’événement, débauche de luxe qui avait pour ambition de montrer le génie, l’excellence française en matière d’architecture et arts décoratifs.
Aus eins de la démonstartion qui devait être faite, les grand magasins parisiens jouent un rôle important à travers les pavillon des ateliers d’art appliqué que ce grand magasins avaient précédemment créé, et ceux en confiant la direction artistique à de spartiates décorateur de renom.Engament prépondérant dans les arts décisifs des grands magasins.
Primavera - Printemps Renée Guilleré, fondateur de la société des artistes décortauers. Après première guerr emodnaile, autre magasins imite le printemps avec 1921 galerie Lafayette qui crée «$La Maitrise$» Da Maurice dufrene. Puis bon-marché qui crée un atelier crée «$Pomone$» DA Paul Follot. Les grands magasins du Louvre qui crée l’atelier «$stodub$» DA Etienne Kohlmann.
Lors de l’exposition e 1925 ces 4 ateliers d’arts appliques avaient chacun fait érigé leurs pavillon, particulièrement remarquer par leurs architecture ou leurs aménagement intérieur.
Bâtiments des galeries => usage de forme géométrique, caractéristique de l’art, ce pavillon est dominé par cette grande verrière, qui à été exécuté par Jacques Gruber.
Aménagement intérieur par Maurice Dufrène, gout pour ligne sinueuse, forme curviligne, ici vu comme héritage de l’art nouveau tout en gardon tradition du gout français.
Paris pavillon emblématique q’uon doit connaitre, programme artistique intitulé «$une ambassade français$» ce programme du pavillon de la société des artistes décorateurs. Cette association crée en 1901, cette association à l’image de d’autre société liée au salon cherche à organisé la production d’art décoratif en france. Très active dans les années 1910 et permet une transition vers l’art déco. Pièce de ça pavillon des différents membre de cette société.
André Groulx chiffonnière de galoucha.
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Pierre Chareau installation de bureua bibliothèque. Pierre Chareau, artiste intéressant dans la mesure ou la frontière n’est pas aussi et entre art déco et moderniste > fonctionnalisme de la produciton. Proche du modenriste. En revanche usage de placage de bois de palmier.
Hotel du collectionneur conçu par le groupe Ruhlmann, il réalisé une oeuvre d’art total, façade de l’édifice par Pierre Patou.
Tendance traditionaliste élite qui oppose ruhlmann aux Corbusier moderniste extreme.
En marge de l’exposition de 1925 montre son pavillon de l’esprit nouveau très fonctionnaliste se situe bien du fonctionnalisme.
Paul Colin création de UAM, uniond es artistes modernes qui voit le jours en 1929, plusieurs membres de la société décorateurs démissionne pour crée l’UAM. Organise première exposition en 1930 mais l’autre pole d’un art déco traditionaliste continue à exister. Avec figure de Paul Iribe précurseur de l’art déco, sa pensée relève d’un conservatisme et dimension patriotise avec période d’entre deux guerre avec bonté nationaliste. Contexte de crise de 1929 n’est pas non plus étranger et a ce titre modèle d’oornement publié en 193à appelé «$choix$», ouvrage en tant qu’objet relève du luxe, avec des ornements calque fait enrichir les modèle présenter.
Domaine de la mode rodoide fonctionne comme calque mais planche sont accompagné d’un texte, pamphlet contre la machinisme et fonctionnalsite. Iribe opposition direct entre l’art déco et le moderniste au tendance minimaliste. Ici il s’oppose à la machine à habiter et Iribe «$le moment du choix est venu, Iribe prône revalorisation du travail manuel et de l’arabesque délaissé au projet de géométrie et du cude$». En bref iribe est nostalgique d’un génie hexagonal décoratif, fais un appel à l’industrie et commerce français du luxe face au économie étrangère et notamment américaine. Deux tendance qui existe bien en France même si frontière pas si nette, avec Maurice Dufrène => interrogation l’oeuvre de dufrène montre ce de qu’il fait et plus compliqué et rappel tendance traditionaliste à des conceptions
Installation du salon d’automne de 1929, meubles combinable et juxtaposable= oncationnalsite quirelève d’un fonctionnalisme moderniste => mentionné au même salon intérieur important du Corbusier perriand et Jeanneret avec l’aquipement h’habitation
Leon Désert évoque installation de maurice dufrène et souligne les recherches de Dufrène et Corbusier qui ne sont pas si éloigné que ça. Remet en cause les schéma que l’hsitoriqgraphia voulue calquer sur production e l’époque.

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