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Liste à venir
avec nos brouillons sur Reims, son patrimoine, nos recettes de cuisine, ou de bricolage, nos histoires familiales, ou politiques, divers essais, et autres notes... le tout à usage personnel, mais ouvert à tout vent.
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quand même |
Attention, c'est un sacré gisement de nanars. On a cependant décidé de savoir ce qui motivait l'humanité, la peur de la catastrophe étant au sommet. On rejette les virus donnant des zombies ou des débarquements d'extra-terrestres (que l'on va considérer comme hors-sujet), sinon, il y a de grandes sous-catégories : origine humaine (la plus rare), terrestre et extra-terrestre. La liste existe sur Wikipedia, je l'ai recopié car on en connait trop peu... Je retiens surtout Alerte ! et Contagion, qui s'inspire et ont inspiré des modèles d'experts, avant de devenir une prophétie autoréalisatrice - sans réalité évidement !
cliquer ci-dessous pour une liste non-triée (car films à voir)
Les vieux nanars qui s'assument surtout dans les "accidents" (avion, bateau,
Années 1990 : le genre s'assume et se prend au sérieux avec les millénaristes
Années 2000 : la fin du monde n'a pas eu lieu, le genre se renouvelle au second degré
Années 2010 : on atteint l'inatteignable après le 11/09 et la rumeur de 2012 !
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Soleil vert |
Le style dystopique est à la mode : la fin du monde approche depuis toujours, mais il semblerait qu'elle arrive de plus en plus vite; alors une question se pose inévitablement : où irons nous après tel événement ? Autorité, enfermement, technicisme... Notons qu'il ne s'agit pas d'évoquer le genre "catastrophe", mais de tirer le portrait du "monde d'après". Dans la plupart des cas, l'un ne va pas sans l'autre. Comme par hasard, le "monde d'après" dysfonctionne toujours, car la dystopie se place forcément dans une opposition au changement. Evidemment, la première critique est héritée de l'industrialisation et provient d'un XIXe siècle encore intelligent, littéraire, politique (Marx). Puis vient la critique déjà plus simpliste des "totalitarismes", confondant bizarrement le marxisme réactionnaires avec le fascisme progressiste (Orwell, Arendt). Enfin, ni littéraire, ni même politique, vient la bête description des dérives technologiques impensées (robots, eugénisme, épidémie, confusion virtuel/réel, etc.). Pour finir, on évolue dans les films actuels vers le combat, "seul contre tous"... En résumé, pour être dans la dystopie, il ne faut ni zombie, ni magie, ni ufologie, juste de la technologie. Tout ceci pour dire : There Is No Alternative - du moins dans les films.
Préhistoire (<1950) : pour agir contre l'utopie mécanisante
Proto-histoire (1950-1975) : pour réfléchir contre les utopies politiques post-WW2
Origines post-modernes : "films d'action" dans un monde post-apocalyptique très improbable
Années 2000 : Soumission à des dystopies existantes, ou espoir improbable d'être le messie
H2G2 |
La première sortie du réel pour des "explorateurs" virtuels désirant changer de planète, histoire d'en massacrer d'autres. Il faut un voyage ou un extra-terrestre, pour ne pas sombrer dans d'autres genres proches (dystopie, catastrophe, super-héros). On y trouve toutes les idéologies sympas comme le racisme (extra-terrestres) ou le transhumanisme (Avatar), tout en évitant l'eugénisme qui reste la spécialité des super-héros (X-Men étant un sommet),. L'argument de la collapsologie est passé par là : la vie existerait ailleurs, certes, mais le silence des étoiles prouve qu'elle s'autodétruit avant d'aller loin. Sans doute les génies se mettent-ils à rêver plutôt qu'à agir ? À défaut d'y croire, on fait des films. Lorsque l'on y croit plus, on produit des reboots à coup de milliards dans le but d'obtenir un meilleur son, de meilleures images. On rêve de nos vieux rêves ! Certains préfèrent en rire, ce sont les meilleurs.
Vielles séries et vieux films (1960-1980)
Pour revoir la série (malheureusement la numérotation ne respecte pas la chronologie) : sur Youtube saisir "collection cousteau" puis le titre ou une partie du titre, et en anglais taper "The Undersea World"
détail des films sur : http://jack200.free.fr/cousteau/DVD1.html id° DVD2 et DVD3
Liste complète avec ordre et numérotation de la "collection" ci-après...
Le monde réel est tellement. triste et l'écran si merveilleux, que l'on préfère la magie sur écran de Disney - c'est fait pour... consommons heureux, fermons les yeux. Cependant, cette magie reste plus proche d'un monde réaliste que dans la Fantasy (Films familiaux // fantasy des années 1980 et actuel). Il y a ici un peu plus de sorcellerie (sorciers et sorcières), souvent des fantômes, quelques baguettes magiques, mais moins de trolls, de nains ou d'elfes... Pour finir par le simple constat de Timmy Failure, l'asperger syndrom. On va évidemment oublier les super-héros !
Voir aussi : Films familiaux // Séries fantastiques années 2000
La préhistoire
Les origines
Les contemporains
Les séries policières... suites des découvertes liées à l'augmentation du temps moyen d'exposition aux écrans durant le confinement. Tout comme la répression des Gilets Jaunes était inspirée par Game of Thrones, l'une de ces séries policières est à l'origine d'un service public en France (Cold Case !). Comme quoi, pour connaitre l'imaginaire de nos ministres, il faudrait se taper toutes ces horreurs. Sélectionnons les moins graves, souvent les plus anciennes (c'est ça le progrès)...
Les origines :
Les contemporains :
Jim Carrey , mi-écossais, mi-français, canadien puis californien pour ce résultat. Admirateur de Louis de Funès, un des derniers comique de la "mimique". Nous n'en avons pas vu beaucoup...
Les années 1980 laissent la fantasy à ce qui aurait dû rester son seul public : les enfants. Bien avant le moment où l'on commence à préférer la vie virtuelle sur écran, avec la violence et tout le vomi audiovisuel de Game of thrones... La "violence" de Conan le barbare semble aujourd'hui adapté aux nouveau-nés. Reste le message commun à plusieurs de ses films : préférer la lecture à l'écran, spécialité du genre qui porte sa propre contestation.
Parfait mélange de subtil et de lourd, parfois trop, découvert dans La nuit au musée puis Mon beau père etc. Gros budgets, mi-new-yorkais mi-californien. Talent d'acteur : ses mimiques, ses choix de rôles, parvient à créer un personnage à lui suivant la tradition d'excellence de Chaplin, Allen... l'obsessionnel torturé ou simple d'esprit qui tente d'être normal dans un monde tourné contre lui, ce qui le conduit à s'enfoncer dans ses obsessions. Parfait pour nous. Voir : Owen Wilson. Vince Vaughn
Films avec Ben Stiller