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Au bord de la fenêtre, quelques minutes avant le recyclage |
Du vrai bio, disons de l'artisanal anti-indus', plutôt paléo-artisanal que néo-artisanal, avec une originalité de terroir que l'on ne trouve pas encore dans les champagnes ; ceci aux côtés de "la bière des faucheurs", souvenir en arrière-plan du mo(uve)ment GJ, et du levain (caché sous une serviette Vichy, souvenir suivant, dans les années Covid : Recette pain // le levain)...
Facile de les reconnaître : ils sentent parfois les pieds (présence de levures naturelles, comme pour le levain), mais préférablement le "cidre", voire une odeur plus florale parfois proche du "vin indus"
Il faut profiter des vacances, s'installer en touristes, faire 100 km au nord, 400 à l'est, 300 au sud pour trouver ces premiers trésors. Demain, il y en aura certainement partout : alors on regrettera peut-être la saveur des levures mondialisées.
À explorer à Reims, la seule adresse fournissant des vins naturels : le "bon manger"
7 r. Courmeaux, mais très certainement à prix d'or !
Ajout du 23 août : essai fructueux au "Bon Manger" avec la découverte d'un producteur-négociant installé dans l'Argonne ardennaise : Sylvain Chen à Boult-aux-Bois, ça ne s'invente pas... Forcément un peu cher (20 euros) pour un sylvaner négocié en Alsace puis vinifié dans les Ardennes, avec du résultat (nez, couleur, bouche), maturation de quelques jours seulement... Nous allons essayer son Gewurtz', puis tenter de se procurer des bouteilles avec son raisin ardennais.
Ci-après, les adresses et les parcours...