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Ajout 2022 : une fois la peinture achevée... la couleur est proche des céramiques de l'étage. |
Au "10 bis", choisir la couleur de la porte : le blanc écrase les volumes, ce qui est dommage sur un bâtiment de 1923... Un retour au bois aurait été idéal, mais un "artisan" des années 1980 a décapé maladroitement au chalumeau en brûlant 10% de la surface et la plupart des arêtes !
J'aurais aussi aimé une "peinture faux bois", selon l'usage de la reconstruction rémoise, mais visiblement les anciens élèves de l'école Blot ont mieux à faire (
article de l'Union)... Ci-après, d'autres essais avec le gratuiciel Gimp... sur les classiques : bleu-vert, rouge vif, vert wagon, marron...
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La version "neutre", le blanc, mais il donne une ambiance triste... plate... |
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Couleur "retenue", celle des carreaux de ciment à l'intérieur...
le "ni-trop" : ni trop clair, ni trop sombre ; ni trop vert, ni trop bleu. |
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Ma préférée, l'inverse du "ni-trop" : rouge "sang de boeuf", mais ça "tranche" dans le vif... |
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Couleur bois : parfait - mais très beau pour du bois ou du "faux bois", comme l'intérieur conservé, un faux-bois à l'origine (vu la qualité et l'épaisseur d'apprêt), mais évitons le marron en peinture. |
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Vert Wagon : creuse beaucoup trop la façade - dommage, ce fut un bel hommage aux chemin de fer,
et à cet "employé" dont la femme fit reconstruire la maison après la Première Guerre mondiale. |
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